La légende de la « pierre tournante » de Doulcon

TrésorCarte de Doulcon

 

D’après les « Mémoires de la société des amateurs-naturalistes du nord de la Meuse » – Année 1909

Une pierre tournante, dite du coq, se trouvait au dessus de la ferme de Jupille. Elle fut en 1880, convertie en moëllons, pour la réparation de l’église de Mont.

La légende dit que cette pierre fermait l’entrée d’une caverne contenant un trésor. Tous les soirs, au premier coup de minuit, elle tournait sur elle-même, laissant le passage libre. Mais au dernier coup, elle reprenait sa position habituelle, retranchant du nombre des vivants ceux que la cupidité avait tentés.

Par les nuits claires, on voyait des hommes de très petite taille, des lutins ou hennequins, prendre leurs ébats dans les environs : c’étaient les bons génies du pays. Ils disparaissaient sous la pierre au premier chant du coq, ou lorsqu’ils se croyaient l’objet de la curiosité.


Archive pour 16 avril, 2011

La légende de la « pierre tournante » de Doulcon

TrésorCarte de Doulcon

 

D’après les « Mémoires de la société des amateurs-naturalistes du nord de la Meuse » – Année 1909

Une pierre tournante, dite du coq, se trouvait au dessus de la ferme de Jupille. Elle fut en 1880, convertie en moëllons, pour la réparation de l’église de Mont.

La légende dit que cette pierre fermait l’entrée d’une caverne contenant un trésor. Tous les soirs, au premier coup de minuit, elle tournait sur elle-même, laissant le passage libre. Mais au dernier coup, elle reprenait sa position habituelle, retranchant du nombre des vivants ceux que la cupidité avait tentés.

Par les nuits claires, on voyait des hommes de très petite taille, des lutins ou hennequins, prendre leurs ébats dans les environs : c’étaient les bons génies du pays. Ils disparaissaient sous la pierre au premier chant du coq, ou lorsqu’ils se croyaient l’objet de la curiosité.

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